Film : Rien à déclarer
Un grand merci à Camille pour les deux places, c’était une bonne surprise !
Pour la première fois de ma vie, j’ai assisté à une projection « privée » puisque nous n’étions que deux dans la salle. Franchement, c’est très bizarre ! Heureusement, Rien à déclarer n’est pas un film d’horreur, je crois que je me serais sentie mal à l’aise sinon. Nous avons donc pu, avec mon compagnon, commenter allégrement le film, sans craindre de gêner nos voisins !
Rien à déclarer est une petite comédie sans prétention, plutôt sympathique à regarder. Ce n’est pas un coup de cœur, mais je n’en avais pas eu non plus pour Bienvenue chez les Ch’tis (j’avais même eu bien du mal à comprendre l’engouement exceptionnel pour ce film…). La comparaison s’impose d’elle-même : comme Bienvenue chez les Ch’tis, Rien à déclarer est un film fondé sur les préjugés, à ceci près qu’il n’est plus question d’opposer le nord et le sud de la France, mais la France et la Belgique ! L’histoire est celle de deux douaniers relativement opposés qui vont devoir faire face à la disparition prochaine du poste frontalier où ils travaillent. L’un est français, l’autre belge. Ruben Vandevoorde, le belge (siiii !) éprouve une véritable animosité envers ses voisins français, entretenue d’ailleurs de père en fils. Mathias Ducatel, lui, est un homme plus posé et fou amoureux de la sœur du douanier belge… Aie !
Je le disais, ce n’est pas du grand cinéma et la fin est très clichée. Malgré cela, on sourit et on rit pas mal avec cette comédie et les deux acteurs principaux tiennent vraiment la route !