André Delabarre, Du sang sur les roses

Publié le par calypso

 

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J'ai trop longtemps pensé que le crime était réservé à une élite de la violence. Lourd héritage d'une éducation judéo-chrétienne mal assimilée qui s'était efforcée de dresser une barrière entre les bons et les méchants, entre le blanc et le noir, comme si le gris n'existait pas...

Demain, pourtant, je vais te tuer ! Sans excitation particulière, calmement. Comme une chose mûrement réfléchie, savamment préparée. Parce qu'il n'y a pas d'autre solution...

 

 

Je suis péniblement arrivée au bout de ce roman que je n'ai pas du tout aimé. Je l'ai lu sans envie et n'ai même pas compris le dénouement. J'ai dû passer à côté de nombreuses informations tant mon degré de concentration était élevé lors de cette lecture... Beaucoup de personnages, quelques références à la gastronomie sans aucun intérêt, une écriture qui manque de finesse... Au suivant !

 

 

L'œuvre en quelques mots...

 

« C'est fait ! Mon bras n'a pas tremblé. Je n'ai éprouvé aucune jouissance coupables pour autant. Un meurtre de sang-froid, rien de plus ! Comme on se débarrasse d'un moustique.

« Il ne ferait pas de mal à une mouche »... disait de moi ma mère. Ce n'est pas une raison pour se laisser dévorer par un insecte diptère qui a choisi de venir souper dans votre chambre!

Pas l'ombre d'un remords. Aucun soupçon de repentir malgré des années d'éducation religieuse. Au plus, l'étonnement que ce soit si facile...

J'ai tué. Je suis capable de tuer. Je m'apprête à tuer de nouveau ! »

 

 

Un mot des titres

 

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A
J'ai parfois été déçu par ce prix Quai des orfèvres.
Répondre
C
<br /> <br /> J'ai un peu honte de n'avoir pas tout compris...<br /> <br /> <br /> <br />